L'Homme n'est pas un fléau
Cees Buisman sur le danger d'un monde désenchanté
La surpopulation n'est pas le problème, l'impact de nos actions sur le reste du monde a bien plus d'impact. Ni le « retour à la nature », ni la croyance en la science, ni le développement de technologies contraires à la nature ne sont des solutions possibles. Il semble que la croissance de l'humanité dépendra de la croissance de notre conscience...
Citation sur le quatrième de couverture du livre :
« Nous, les humains, devons sans cesse nous rendre compte que les innombrables interactions et dépendances dans la nature sont trop compliquées pour que nous puissions les comprendre pleinement. Par conséquent, il semble souvent impossible de prévoir toutes les conséquences d'une intervention particulière sur la nature, et il n'est pas surprenant que de nombreuses technologies bien intentionnées aient finalement causé plus de mal que de bien. Je pense que les entreprises devraient définir leurs stratégies d'innovation de manière à imiter la nature ou à être le plus en harmonie possible avec elle, une approche que j'appelle « technologie naturelle ». Il me semble donc important d'imiter au mieux la nature en ce qui concerne la santé, l'énergie, l'eau et l'alimentation.
Le scientifique autrichien Viktor Schauberger avait des idées similaires il y a plus de 80 ans, et l'inventeur et chercheur autrichien Johann Grander, avec son invention de la « vivification de l'eau », fournit un exemple parfait de la façon dont une technologie respectueuse de la nature est possible tout en étant socialement et commercialement réussie. IPF/Grander occupe une place unique dans le développement de la technologie naturelle et de la stratégie d'innovation et est donc un leader mondial dans le domaine du traitement physique durable de l'eau. » Cees Buisman
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